Et voici quelques grains de sable de notre aventure mécanisée poussiéreuse ! Malgré une soirée en face d'un Louis déprimé (déprimant ?), la ballade m'a arraché à la trop restreinte ville. Une bouffée d'air frais et une embouchure de fleuve lisse à me rappeler les plans d'eau nichés parmi les dénivelés alpins. Il n'a manqué qu'un aviron de quelques rameurs... un peu nostalgique !
J'attends impatiemment de surprendre les animaux de la presqu'île. Hippopotames, éléphants, gazelles. Des noms de zoo désormais à quelques coups de volant des aurores de Port-Gentil.
A quand la prochaine, Madame ?
Plus de grains de sable !
Cinq
Il y a 12 ans
ça donne envie ces grands espaces
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